Histoire curieuse et insolite des routes en France

L’aventure à la croisée des chemins 2/2

La réouverture de la liaison ferroviaire entre Pont Saint-Esprit et Nîmes est l’occasion de nous plonger dans la passionnante histoire des routes en France. Alors si l’aventure vous tente suivez-nous sur ce chemin parsemé d’anecdotes et d’histoires  surprenantes.

Parcourez les voies romaines, chaussez vos bottes de 7 lieues et revivez la passionnante histoire du train…

L’utilisation des voies romaines

Lors de notre premier épisode nous avons découvert que tous  les chemins menaient à Rome et que la carte Michelin et le guide du Routard n’ont rien inventé…

Le Cursus Publicus, la poste impériale de l’empire romain

Le Cursus Publicus est le service de poste impérial qui assurait les échanges au sein de l’Empire romain. L’organisation de ce service commence sous Auguste :Stratégique pour les liaisons entre l’empereur, l’administration des provinces romaines et les unités militaires, ce service prend rapidement de l’importance et assure la circulation des correspondances d’État, des personnalités officielles et des impôts perçus. Il permet également la mise en place d’un système d’espionnage centralisé.

Les particuliers ne peuvent en faire usage qu’avec une autorisation écrite, rarement accordée. Ils utilisent des connaissances ou des commerçants pour acheminer leur courrier ou leurs colis. Pour pouvoir bénéficier des prestations disponibles sur le réseau, comme l’hébergement et la remonte, les militaires et les fonctionnaires coursiers envoyés en mission reçoivent de l’empereur un « diplôme » ou ordre de mission (evectio ou plus tard appelé diploma ou bien encore tractoria). Régulièrement, les empereurs légifèrent contre les trafics de diplômes et contre les abus, comme les diplômes délivrés par des gouverneurs de province en toute illégalité.

Un guide touristique déjà dans l’antiquité

L’Itinéraire d’Antonin (en latin Itinerarium Antonini Augusti) est un guide de voyage de la Rome antique qui recense les villes étapes de l’Empire romain et les distances les séparant. Il nous est connu par vingt manuscrits qui vont du viie au xve siècle.

Il couvre une grande partie du monde romain, mais non sa totalité, sans que l’on sache pourquoi.

Il recense et décrit 372 voies sur 85 000 kilomètres dans tout l’Empire.

On ne sait avec certitude quel était son usage. Il ne semble pas destiné aux voyageurs privés, mais il pourrait s’agir d’un recueil de mansiones comportant des greniers où l’on stockait des approvisionnements. Certaines parties pourraient correspondre à des routes du cursus publicus ou à des voyages impériaux particuliers. Il décrit des trajets plutôt que le tracé de voies romaines sur toute leur longueur.

Combien de temps entre Paris et Pont-Saint-Esprit à l’époque romaine?

Voyager dans l’antiquité n’était pas de tout repos: l’état des routes était plus ou moins bon, les étapes peu nombreuses, le climat et le type de véhicule pouvaient affecter le temps de route. Sans compter que les routes n’étaient pas toujours sûres. Il fallait également prévoir des guides et des traducteurs ayant la connaissance des régions traversées. Bref se déplacer  nécessitait argent et préparation. 

Aujourd’hui grâce au travail de chercheurs de l’université de Stanford, Le site Orbis vous permet d’évaluer le temps de transport durant en fonction de nombreux facteurs. Amusez-vous ainsi à vous déplacer dans toute l’Europe suivant le mois de l’année et le type de véhicule. Par exemple, pour faire la route entre Paris et la ville d’Orange à 20 km de Pont-Saint-Esprit au plus vite,il fallait partir en juillet et il fallait au minimum 14 jours!

Voyagez sur les pas des romains

Si vous voulez voyager à pied ou en VTT sur les pas de nos ancêtres, le site les itinéraires romains en France répertorie les voies, les bornes milliaires  vous permettent de préparer votre voyage.

Étape par étape, ce site vous fournira toutes les informations pratiques pour la bonne réussite de votre voyage à pied ou à VTT sur 11000 km de chemins ou de petites routes parfois repérés « Voie Romaine » sur les cartes récentes.

L’histoire et la description des vestiges archéologiques de chaque étape sont aussi disponibles sur le site.

Sur la V11 De Valence à Orange

Pour exemple,depuis le Mas des îles, vous pouvez emprunter la V11 entre Valence et Orange

Pour ce parcours rive gauche de 95 km, seuls 37 km (5 à VTT et 32 de petites routes) sont calmes. Le parcours rive droite de Valence à Bollène, plus long, offre plus de richesses archéologiques, en particulier avec la visite d’Alba; par contre, il évite Saulce et Montélimar mentionnés sur les itinéraires; la fin du trajet emprunte la voie romaine qui se terminait sous l’arc de triomphe d’Orange réputé pour son théâtre romain.

IGN vertes: 52/59 – Michelin: 331/332

Rive gauche

Suivre la N7 sur 55 km par Saulce-sur-Rhône, Montélimar jusqu’à 2 km au sud de l’échangeur de Malataverne; prendre la D 133 en direction de Grignan sur la gauche; tout contre l’aire de repos de l’autoroute, la voie romaine traverse le bois de Mattes (5 km à VTT); du Logis-de-Berre (D 158), 16 km de petites routes conduisent à Bollène par Saint-Paul-Trois-Châteaux, l’ancienne Augusta Tricastinorum, qui a disparu des itinéraires.

À Bollène, prendre la direction de Nyons (D 994) sur 3 km et ensuite à droite plein sud (D 12 puis 11) en direction d’Orange par Uchaux; cette petite route est la voie romaine, comme l’indique sa rectitude en fin de parcours (13 km).

Rive droite

Suivre la N 86 jusqu’au Teil avec un arrêt au Pouzin pour le pont et à Cruas pour les milliaires; un aller-retour de 20 km permet de visiter Alba. En revenant, prendre à Mélas sur la droite une petite route (GR 42) qui conduit au pont romain à 300 mètres en amont du pont actuel de la N 86 proche de Viviers; cette petite route serait l’ancienne voie romaine. Ensuite, à VTT, le GR 42 rejoint Bourg-Saint-Andéol, d’où l’on reprendra en voiture l’autre parcours à Bollène.

Les routes à partir du Moyen Âge

Au milieu du III°siècle, le réseau des routes romaines était important et de bonne qualité puisqu’entretenu par l’Etat.

À partir du milieu du même siècle, suite aux invasions réitérées des barbares qui provoquèrent la chute de  l’empire romain, ce réseau commença à se dégrader, par manque d’entretien. Ainsi, ces routes, qui avaient fait la gloire de l’empire romain occasionnèrent sa perte, puisqu’elles furent empruntées par ses envahisseurs (Huns, Goths, Vandales), lesquels anéantirent l’Empire au Vème siècle.

Après la chute de l’Empire, on se contenta d’utiliser ces routes sans les entretenir. Il s’ensuivit une dégradation progressive.

Les matériaux des fondations furent en partie réutilisés par les paysans ce qui dégrada encore plus le réseau.

Les voyages se limitaient à quelques dizaines de km. Ceux de plus longue distance se faisaient à pied ou à dos d’équidés, mule, âne, cheval. Le commerce se faisait à pied ou à dos de mule à raison de 30 km/jour, les rencontres de brigands étaient très fréquentes. 

La situation s’améliore quelque peu sous l’influence de Charlemagne vers la fin du VIII°ème siècle.avec la reconstruction de certains tronçons, l’entretien des morceaux de voie encore en état et la restauration de certains ponts. 

Tandis que disparaît le réseau routier romain, se créent aux XI et XIIe siècles de nouvelles voies de communication adaptées à l’essor du commerce. Ces chemins nés des usages locaux constituent un réseau secondaire dont l’absence d’entretien entraîne une lenteur considérable (10 à 15 km par jour).Les routes sont utilisées par les religieux allant d’une abbaye à l’autre, par les clercs et par les pèlerins. 

À partir du XIIIe siècle, on assiste à l’expansion des routes. Dès le XIVe siècle, on essaya de remettre en place les voiries établies par les Romains. En 1550, on pouvait estimer la longueur totale des routes en France à 25 000 km. En revanche, les techniques de construction restaient rudimentaires. Il fallait plus de trois semaines, par exemple, pour aller de Lille à la frontière des Pyrénées en diligence.

Jusqu’aux années 1750, la France souffre cruellement d’un réseau routier qui n’est pas à la hauteur de sa puissance politique et économique.

Les grandes routes ou routes royales (grands axes entre Paris et métropoles régionales) sont du ressort de l’État qui va leur consacrer un budget de plus en plus important (jusqu’à 4 % en 1789) et créer le corps des ingénieurs des Ponts-et-Chaussées dès 1716. Ces cadres techniques, dont l’École est fondée en 1747, vont définir les règles de construction des routes et ponts du royaume.

En 1738, l’instauration de la corvée par le contrôleur général des Finances Orry (ministre de Louis XV), contraint tous les paysans habitant près des grands chemins à participer deux fois par an à l’entretien des routes du royaume. Les années 1750-1780 sont marquées par les travaux les plus intensifs : le réseau des routes royales estimé à 14.000 km en 1775, a quasiment doublé en 1790 (27.000 km). À cette date, on estime à près de 50.000 km le réseau des chemins pavés et entretenus.

Ce nouveau réseau, fait sur le principe des voies romaines de l’époque à partir de 1760,est encore d’actualité quoique remanié et élargi. Cet espace géographique se mesure en journées de voyage ou en lieues qui peuvent varier d’une région à l’autre.

La poste et les messageries

Le Cursus Publicus était réservé à un usage militaire. Les civils ayant besoin d’envoyer un message le faisait par l’intermédiaire d’un esclave, de commerçants se rendant sur le lieu ou des tabellarii, messagers chargés de porter les messages privés sous forme de tablette enduite de cire.

Durant le Moyen Âge les échanges se font via des messagers. Les messageries sont un service de fourgons, coches et diligences transportant voyageurs et marchandises. 

La densification du réseau routier va de pair avec celle d’un réseau de poste plus efficace. En 1775, le contrôleur général des Finances Turgot (ministre de Louis XVI) crée la Régie des diligences et messageries : la poste dispose alors de relais tous les 15 à 20 km, le long d’un réseau routier de qualité nettement plus homogène. Avant la Révolution, la poste compte environ 3.000 relais et 12.000 employés qui sillonnent les routes du royaume.

Les bottes de 7 lieux

L’imagination populaire a créé ces bottes magiques, associées à l’unité de mesure des distances, la lieue, et le chiffre symbolique sept. Au XVIIe siècle, on appelle « bottes de sept lieues » les bottes utilisées par les postillons. On pense généralement qu’elles sont ainsi nommées car les relais de poste sont distants d’environ sept lieues. Mais les postes, distances entre deux relais, ne sont pas rigoureusement, ni officiellement, fixées : la distance varie énormément selon la nature des zones de parcours, plaines, montagnes, l’état des routes, etc.. Elle est en moyenne, au XVIIe siècle, entre 16 et 20 kilomètres, soit quatre à cinq lieues.

Rigides et fixées à la monture, les bottes permettent un meilleur maintien et une protection des jambes en cas de chocs ou de morsures. Elles sont renforcées de fer pour empêcher la jambe de se briser si le cheval tombe et roule sur l’homme. Elles sont utilisées en France jusque vers 1840.

Un réseau centralisé

Le réseau français à la fin du XVIIIe siècle met en évidence l’importance de la centralisation. Paris est au cœur d’une immense toile d’araignée qui relie la capitale aux territoires et aux grandes villes du royaume. Il faut attendre la fin du siècle pour que les communications entre provinces s’améliorent vraiment par l’aménagement de chemins transversaux entre grands axes routiers.

Le saviez-vous?

Si, dans l’antiquité, tous les chemins menaient à Rome, aujourd’hui le “kilomètre zéro” des routes de France se trouve sur le parvis de Notre Dame de Paris.

Les cartes

Dans les années 1671-1673 le roi Louis XIV ordonne à l’Académie des sciences, crée 1666, de « dresser une carte de toute la France avec la plus grande exactitude possible ». La carte de Cassini ou carte de l’Académie est la première carte topographique et géométrique établie à l’échelle du royaume de France dans son ensemble. Les relevés ont eu lieu sur 4 générations par la famille Cassini .

L’Atlas des routes de France dit Atlas de Trudaine figure parmi les plus grands atlas géographiques routiers de France. Cet atlas, réalisé entre 1745 et 1780 sur ordre de Daniel-Charles Trudaine, administrateur des Ponts et Chaussées, vise à cartographier finement les routes et leurs abords. Il constitue une collection de 62 volumes totalisant plus de 3000 planches manuscrites

Le plan de Turgot est un plan de la ville de Paris, réalisé entre 1734 et 1739 à la demande du prévôt des marchands, Michel-Étienne Turgot, par Louis Bretez, membre de l’Académie de peinture et de sculpture et professeur de perspective. Techniquement il représente Paris en « perspective cavalière » axonométrique (perspective isométrique) à l’échelle 1/400 environ, ce qui entraîne une taille de 2,49 m. × 3,18 m.


L’indicateur fidèle ou guide des voyageurs est un guide routier qui enseigne toutes les routes royales et particulières de la France. Édité pour la première fois en 1767 il est encore disponible.

Les communications au XIX° siècle

L’entrée de l’ère industrielle est marquée par l’avènement de la machine à vapeur. Les diligences tirées par des chevaux ont assuré depuis de nombreuses années les transports de passagers,elles sont petit à petit remplacées par de nouveaux véhicules. La structure des  routes s’adapte à ces nouveaux moyens de transport

Connaissez-vous l’origine du Macadam ?

En 1815, en Angleterre, un administrateur général des routes fut nommé : John Loudon McAdam. Ses innovations ont considérablement amélioré les techniques de constructions des routes. Ces dernières furent capables de supporter un trafic lourd et rapide. Le nivellement et l’assèchement virent le jour. La méthode vise à concasser au marteau des cailloux afin qu’ils aient une taille, une forme et un poids précis : 170 grammes. Pour lier cette préparation, il mélange du sable et de l’eau puis agglomère avec les roues des véhicules puisque le rouleau compresseur n’existe pas encore. 300 km de routes ont vu ainsi le jour et ont permis de démontrer l’efficacité de cette nouvelle technique : moins de détérioration et presque aucune infiltration.

Pour permettre aux nouveaux véhicules d’évoluer dans de bonnes questions de sécurité les revêtements comme l’asphalte et le bitume commencent à être employés pour le surfaçage des chaussées au milieu du XIX° siècle.

La machine à vapeur est la source d’énergie principale de la Révolution industrielle naissante. Elle est également essentielle concernant les progrès qui ont suivi dans le domaine des transports terrestres, comme la voiture à vapeur, le bateau à vapeur et surtout le chemin de fer,

Les premières locomotives apparaissent en Angleterre vers 1820. Les premières lignes de chemin de fer reliaient les villes importantes; mais pour transporter les marchandises apportées par le rail, il était indispensable d’avoir un réseau routier permettant de les acheminer jusqu’à destination, ce qui a développé le transport par camions qui a connu un développement rapide et important à partir de cette époque et qui n’a pas faibli jusqu’à nos jours.

Entre le luxurieux Orient express, reliant Paris à Constantinople, le petit train à crémaillère nous permettant d’atteindre des sommets ou le toy-train , mini-train longeant les coteaux théiers de Darjeeling, le train est dans l’imaginaire de chacun. 

Voyage en train aujourd’hui : pratiquez-vous le tågskryt ?

Voyager en train possède de nombreux avantages. Plus écolo que la voiture, ce moyen de transport propice à la contemplation est une invitation à prendre son temps, le nez collé à la vitre ou plongé dans un bouquin. Aujourd’hui voyager en train devient à la mode.

Le tågskryt ( prononcer Taukskit) est un nouveau mot venu de Suède qui renvoie quant à lui à la fierté de prendre le train. C’est une tendance qui enflamme les réseaux sociaux. La France disposant d’un tissu ferroviaire important, il existe un guide permettant de planifier un voyage complet en train. “ Vacances en Train” est un guide imaginé pour celles et ceux qui privilégient le temps long du voyage à la (re)découverte de la France et d’un tourisme plus durable. 40 lignes de TER ont été sélectionnées, pour sillonner l’Hexagone à vélo et à pied, mais dans tous les cas sans voiture. Par exemple partez en train dans les Cévennes

Cette nouvelle façon de voyager s’inscrit dans une volonté de tourisme plus responsable. Pour venir au Mas des îles, vous pouvez arriver soit de la gare d’Avignon et venir en car ou en train jusqu’à Pont-Saint-Esprit. Si vous arrivez à La gare de Bollene la Croisière nous pouvons également venir vous chercher.

Réouverture de la ligne ferroviaire entre Pont-Saint-Esprit et Nîmes

La liaison entre Lyon et Nimes par la rive droite du Rhône existait dès la deuxième moitié du XIXème siècle. Elle appartenait à la compagnie PLM (Paris-Lyon-Meditérrannée). L’architecture des gares qui la dessert, est d’ailleurs typique de cette compagnie.

Au XXème siècle, le trafic voyageur sur cette ligne est concurrencé par la ligne Lyon – Marseille, desservant des grandes villes, et située sur la rive gauche. La ligne sera complètement fermée aux voyageurs en 1973.

Lundi 29 Août 2022, la ligne a réouvert en partie au trafic des voyageurs entre Pont Saint-Esprit et Nîmes-Centre. Il s’agit de la première réouverture d’une liaison ferroviaire voyageur de ce type en France depuis 2016.

Un arrêt supplémentaire en gare du Teil pour 2024 qui marquera le retour du train dans le département de l’Ardèche, qui est le seul département français métropolitain à ne pas compter d’arrêt SNCF. Un prolongement vers Romans-sur-Isère est également évoqué à l’horizon 2026

“Ce n’est pas la destination mais la route qui compte.

Proverbe gitan

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